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Espace dimensionnel - Space Fictions + Photos
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dimanche 13 janvier 2008

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Il retrouve un vieux pèse-personne au fond d’un placard et se demande après tant d’années, combien de kilos-watt pouvait-il bien valoir.
Il y monte et y décolle_
recevant des mails, des tonnes de mails
c’est comme la mèle en colis dans le Post Office d'une accalmie.

Il se hasarde à dire:
"Je connus. Autrefois puis maintenant. (silence) Je connais cette femme, elle se transforme en homme vous tournant le dos"
Elle est à pied, parce qu’elle se sent inutile pour la rapidité.
Quand la seule voiture a écourté de lui offrir la balade, elle n’a même pas examiné le choix.

L’homme lance alors sa veste au-delà de sa pensée.
Physique froideur.

À la fin de sa route, il a finalement cessé, les bras tendus vers la forme de la croix.
Tout le reste n'a plus de matière.
Les paroles sont la tête en bas, chantant dans un hôpital
"Midnight, the stars and you"



Dimanche 6 janvier 2008


(et dans un couloir un écriteau et sur cet écriteau ce qui suit:
Ne pas montrer son profil avant son œuvre
attendre la fin complète de son œuvre
ni même le début inachevé d’un repos où
la vue frôle Lavue, la rue, angle 45, dépôt numéro 2 _
se lit à deux voix _ en minimum, la vie est une oeuvre)

Il n’y a que la pensée, des deux côtés, se mélangeant en une nouvelle œuvre
une œuvre de rien, l’air de rien sur l’herbe passe, devant des museaux
contemplant les peintures d’une atmosphère.
Une nouvelle page ; depuis, en définition. Dès ce moment, Il devient :
l’homme oiseau. L’homme oiseau connaît la peur, le vide, l’ensemble,
les mains rouges, la forme des obstacles, la route des habitants du vent et puis
le parfait avenir d’un rêve. Le rêve d'une oeuvre est :
une forêt de cent graines sans pommier en tableau humain et tant encore.
Tous ceux de la, rue Lavue, angle 45, dépôt numéro 2.
Un dépot d'oeuvres fichues, abimées, jetées, vendues, 1 euro pièce.


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